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« Il y a urgence à ce que l'État respecte ses engagements de financement des opérations du plan campus », déclare Philippe Augé, président de l'université Montpellier-I et président du PRES « Sud de France », lundi 11 février 2013. Il s'exprime à l'occasion d'une conférence de presse présentant le projet de construction d'une nouvelle faculté de médecine à Montpellier. « Aujourd'hui, la région Languedoc-Roussillon tient ses engagements là où nous doutons des crédits de l'État », poursuit-il. Le site montpelliérain a choisi de « décroiser les financements » de certaines opérations immobilières de manière à « accélérer leur réalisation ». Cela permet ainsi à l'État et la région d'avoir un maître d'ouvrage unique. Le site de Montpellier bénéficie d'une enveloppe de 325 millions d'euros dans le cadre de « l'opération campus » (AEF n°299027).
« Lorsque des projets apparaissent comme ne pouvant être mis en oeuvre rapidement, il est proposé de mutualiser les crédits disponibles sur les projets les plus avancés. » Telle est l'une des recommandations de la « mission nationale d'évaluation de l'opération campus », dont le rapport est remis à Geneviève Fioraso,ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, lundi 29 octobre 2012. Cette mission préconise en effet « des réorientations de montages notamment en MOP (maîtrise d'ouvrage publique) pour une partie des opérations campus », sur « une dizaine de sites ». Mais le financement des travaux devant se faire à budget constant, il sera nécessaire de « hiérarchiser les projets selon les besoins prioritaires ». Geneviève Fioraso précise que « cinq ans après le lancement de l'opération campus », il sera peut-être nécessaire de « s'interroger sur l'actualisation de certains projets ».
La démission de Patrick Tondat, directeur général délégué à l'opération campus au PRES de Montpellier, « n'entraînera pas de retard dans les PPP (partenariats publics-privés) », indique à AEF, mercredi 18 janvier 2012, Philippe Augé, président du PRES Sud de France. Cette démission intervient pour « raisons personnelles », « sans aucune mésentente » entre les acteurs du PRES. « Les bases du projet [de l'opération campus à Montpellier] étant stabilisées pour ce qui concerne ma mission, j'ai décidé de quitter Montpellier, avec l'aval du MESR, en janvier 2012 pour revenir dans le giron [du] 'Grand Paris' et m'investir dans de nouveaux défis », écrit Patrick Tondat sur son profil « Viadeo ».
« Mon objectif est que nous soyons les premiers à signer un PPP en 2012 dans le cadre de l'opération campus. J'espère signer à l'été 2012 et je ne vois pas ce qui peut arrêter notre démarche aujourd'hui », déclare à AEF Patrick Tondat, directeur général délégué à l'opération campus du PRES Université Montpellier Sud de France (UMSF), mardi 17 mai 2011. « Les dossiers avancent bien et nous sommes parmi les trois sites les plus avancés, qui respectent le calendrier attendu par le ministère », constate Dominique Deville de Périère, présidente du PRES UMSF, jeudi 19 mai 2011, au lendemain d'une réunion avec Laurent Probst, conseiller pour les affaires financières et immobilières du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Alain Neveu, responsable du service « grand projets immobiliers » au MESR, et Christian Philip, recteur de l'académie de Montpellier. « La programmation de la première tranche d'investissements immobiliers n'a pas été impactée par les problèmes de gouvernance universitaire », expliquait Patrick Tondat dans un communiqué daté du 13 avril 2011, deux jours après la validation par le conseil d'administration du PRES du lancement des trois premières opérations. Patrick Tondat fait ainsi référence aux différents épisodes qui ont émaillé l'élaboration du projet d'idex montpelliérain (1).
« Nous voulons faire de Montpellier l'éco-campus du XXIe siècle », déclare Patrick Tondat, directeur général délégué à l' « opération campus » du PRES Université Montpellier Sud de France (UMSF), lors d'une conférence de presse organisée mardi 15 juin 2010. « Il faut que l'on montre au niveau national que notre site avance. Nous avons un site qui a beaucoup d'atouts, il faut que cela se sache », rappelle Dominique Deville de Périère, présidente du PRES. L'UMSF lance un appel à propositions international portant sur « la définition d'un concept stratégique et opératoire pour l'aménagement de cet éco-campus, articulant exemplarité environnementale, intégration urbaine et vie de campus, afin de faire de l'université de Montpellier une vitrine mondiale en la matière ». « L'objectif de cet appel à projets est de trouver une image de marque » et de « penser un nouveau modèle d'université, lieu de vie étroitement connecté au tissu montpelliérain et porteur d'un 'projet de vie de campus' », explique Patrick Tondat. L' « opération campus » de Montpellier bénéficie d'un financement de 325 millions d'euros (AEF n°299027). Le campus montpelliérain représente, au nord-ouest, un cône d'1/8e de la ville, soit 840 hectares. Le PRES montpelliérain existe depuis un an (AEF n°293077).
Le PRES « Université Montpellier Sud de France » a signé, mercredi 16 décembre 2009, la première convention partenariale de site avec les différents partenaires du plan campus : État, région Languedoc-Roussillon, communauté d'agglomération de Montpellier et ville de Montpellier. Ce document détermine les engagements respectifs des parties en vue de la réalisation des opérations du projet adopté dans le cadre de l' « opération campus ». Les signataires réaffirment « la complémentarité et la nécessité de maintenir, dans les études comme dans la phase opérationnelle qui suivra, l'approche intégrée qui a contribué au succès du dossier de candidature ». Le projet montpelliérain bénéficie d'une dotation de 325 millions d'euros (AEF n°299027). La région Languedoc-Roussillon abonde l'opération de 162,5 millions.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.