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« Le gouvernement ne fait aucune distinction entre ce qu'il a été d'usage d'appeler le 'plan de mobilisation' d'une part et le 'Grand Paris Express' d'autre part », assure Jean-Marc Ayrault, mercredi 6 mars 2013, à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne), à l'occasion de la présentation très attendue des arbitrages sur le projet du Grand Paris. Le Premier ministre explique que « le gouvernement porte désormais, avec les collectivités locales et notamment le conseil régional, un plan unique et cohérent de modernisation et de développement du réseau », dénommé « Nouveau Grand Paris ». Ce dernier est « d'une ambition sans précédent et il est financé », assure-t-il, avant de détailler les « investissements lourds » sur lesquels « le gouvernement a décidé de s'engager » (AEF Habitat et Urbanisme n°194244). Il confirme notamment la « réalisation intégrale » du réseau Grand Paris Express, « d'ici 2030 ».
« Le logement est aujourd'hui une bombe à retardement pour l'avenir du Grand Paris […] Nous devons prendre conscience que la question du logement est avant tout une question d'aménagement. Elle relie des enjeux fonciers et de gouvernance, régionale et intercommunale, pour mobiliser des terrains, prévoir et financer les équipements », déclarent onze des quinze équipes d'architectes-urbanistes de l'AIGP (atelier international du Grand Paris) (1), dans une tribune publiée mardi 5 mars 2013 à la veille des annonces du Premier ministre sur le Grand Paris Express et la gouvernance de l'Île-de-France. « Chacun sait maintenant que le coût et la durée de réalisation [du Grand Paris Express] ont largement été sous-évalués et, à l'inverse, les perspectives démographiques et les effets des infrastructures sur le développement économique largement surévalués », ajoutent les architectes.
"Dans un contexte actuel marqué par de nombreuses incertitudes et inquiétudes sociales et économiques, les organisations signataires engagées dans cet ANI [sur le paritarisme] réaffirment leur ambition d’une démocratie sociale porteuse de progrès, de performance sociale et économique, et de respect de l’environnement", soulignent les sept organisations syndicales et patronales signataires