En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le nouveau Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale « devrait être l'occasion de faire franchir à l'ensemble des opérateurs d'infrastructures critiques une étape décisive dans la sécurité de leurs systèmes d'information et de permettre à l'État d'en évaluer la robustesse », explique Francis Delon, secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale. Il publie dans la revue « Défense » un article intitulé « Infrastructures critiques : le château de cartes numérique », reproduit sur le site du SGDSN, vendredi 29 mars 2013. Francis Delon est membre de la commission chargée de l'élaboration du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale (AEF Sécurité globale n°209348).
« Le président de la République a voulu que soit engagé un travail de mise à jour du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale. C'est un travail considérable, d'un grand intérêt. Ce Livre blanc sera adopté, mesdames, messieurs les sénateurs, à la fin du mois d'avril. » C'est ce qu'affirme le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, lors de la séance de questions au gouvernement au Sénat, jeudi 28 mars 2013. « Je souhaite que le Parlement puisse en débattre, que ce soit au Sénat ou à l'Assemblée nationale, avant l'été. C'est en tout cas, et c'est la moindre des choses, l'engagement que je prends devant vous. Ce Livre blanc présentera les risques et les menaces auxquels notre pays doit faire face, mais surtout il analysera le contexte géopolitique qui est le nôtre et les types d'engagements auxquels nous devons faire face. »
« La question de la cybersécurité est centrale dans les travaux en cours sur le prochain Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale. » C'est ce qu'indique le député Eduardo Rihan Cypel (Seine-et-Marne, SRC), jeudi 21 février 2013, à Paris. Le député, également membre de la commission du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, s'exprimait lors de l'audition publique sur « Le risque numérique » organisée par l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. « Il y a trois dimensions relatives à la cybersécurité », liées à l'État, à la formation et aux « opportunités économiques pour créer de nouvelles filières industrielles », précise-t-il.
« Les services de renseignement eux-mêmes sont aujourd'hui demandeurs d'un plus grand contrôle de la représentation nationale, ce qui sera l'un des objectifs du prochain Livre blanc. » C'est ce qu'indique le coordonnateur national du renseignement, Ange Mancini, mardi 5 février 2013. Il était auditionné par la commission de la Défense de l'Assemblée nationale. « La première mission d'un service de renseignement, c'est, comme dirait Monsieur de Lapalisse, d'acquérir du renseignement, c'est-à-dire une information qui n'est pas publique et qu'il faut rechercher par des méthodes particulières, parfois clandestines », justifie Ange Mancini. « L'objectif de cette mission est noble, puisqu'il s'agit de protéger les intérêts fondamentaux de la Nation. »
« La DCRI, qui fait partie de la direction générale de la police nationale, est tributaire des choix - y compris budgétaires - opérés par cette direction qui gère bien des choses, au-delà du renseignement. Faut-il lui donner plus d'autonomie et de visibilité ? Nous en discutons au sein de la commission du Livre blanc (AEF Sécurité globale n°200769) », affirme Francis Delon, mardi 27 novembre 2012. Le secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, membre à ce titre de la commission chargée de l'élaboration du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, s'exprimait devant la commission de la Défense de l'Assemblée. « Depuis l'affaire Merah, la direction centrale du renseignement intérieur est dans une phase intense d'introspection », précise Francis Delon. « Ce service – jeune – qui est né de la fusion difficile entre des services de cultures différentes, la DST et les renseignements généraux, s'est retrouvé fragilisé par l'affaire Merah. Le ministère de l'intérieur réfléchit à ce que pourraient être les axes d'une réforme (AEF Sécurité globale n°203831). »