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« J'ai autorisé les recteurs et les Dasen à accorder les temps qu'ils jugeront utile sur les heures d'aide personnalisée et sur les heures d'animation pédagogique » pour « la mise en œuvre des nouveaux dispositifs 'Plus de maîtres que de classes' et pour la scolarisation des moins de trois ans », écrit le 3 avril 2013 Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale, au Snuipp-FSU. « Le ministre de l'Éducation nationale répond [ainsi] favorablement à la demande du [syndicat] d'accorder, dès maintenant, du temps aux équipes des écoles » pour ces dispositifs (AEF n°193993), écrit le syndicat sur son site internet. « Je tiens […] à ce que l'ensemble des mesures nouvelles concernant le premier degré, que ce soit les nouveaux dispositifs précités ou l'organisation de la nouvelle semaine scolaire concernées à la rentrée 2013, se mettent en place dans les meilleurs conditions possibles », explique Vincent Peillon.
« Un certain nombre de nouveaux dispositifs tels que le 'plus de maîtres que de classes', la scolarisation des moins de trois ans, la liaison école-collège, vont se déployer à la rentrée prochaine dans les écoles, ou sont d'ores et déjà lancés, comme c'est le cas des emplois d'avenir professeur », écrit Sébastien Sihr, le secrétaire général du Snuipp-FSU dans une lettre adressée au ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, dont le contenu est mis en ligne le 10 mars 2013 sur le site internet du syndicat. Le Snuipp-FSU lui « demande que puisse être dégagé dès maintenant, notamment sur les heures d'aide personnalisée, le temps nécessaire à la réflexion et la concertation des équipes d'écoles chargées de leur mise en œuvre ».
« Je vais demander aux recteurs et aux Dasen que soit installé partout un comité de suivi [de la réforme des rythmes] départemental associant représentants des personnels, élus, administrations et associations », écrit Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale, dans un courrier adressé à Christian Chevalier, secrétaire général du SE-Unsa, et daté du 25 février 2013. Il répond à un courrier du SE-Unsa daté du 5 février 2013, dans lequel Christian Chevalier en demandait la constitution.