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Le conseil d'administration de l'IRD (Institut de recherche pour le développement) adopte une politique RSO (responsabilité sociétale des organismes), vendredi 29 mars 2013. Sept axes prioritaires sont retenus, dont quatre font l'objet d'un premier « plan d'actions » qui sera mis en œuvre dès 2013 : la « responsabilité sociale interne », les « achats durables », la « maîtrise des consommations énergétiques » et la « gestion responsable des déchets ». Le plan sera élargi en 2014 aux trois autres priorités, à savoir la « gouvernance », la « recherche responsable » et le « renforcement des capacités des Suds ». Cette politique sera suivie et évaluée par un « comité de développement durable ». L'institut prévoit en outre de mener des actions « sur la sensibilisation des agents de l'IRD et sur la communication autour de la démarche ».
« C'est la première fois que le BRGM prend part à la gouvernance d'une UMR (unité mixte de recherche) », souligne auprès d'AEF François Démarcq, directeur général délégué de l'organisme, le 23 janvier 2013, en évoquant le renouvellement de la convention de l'Isto (Institut des sciences de la Terre d'Orléans) signée le 10 janvier aux côtés du CNRS et de l'université d'Orléans, qui en étaient déjà cotutelles. « Ce ne sera pas la dernière », ajoute le directeur général délégué, qui explique que « le BRGM entend renforcer ses relations avec les pôles universitaires qui ont des compétences en sciences de la Terre ». Le BRGM annonce qu'il « mobilisera 26 chercheurs » pour contribuer aux activités de l'Isto, et « s'est engagé à financer ou cofinancer jusqu'à quatre nouvelles thèses par an ». « Lors de la signature de la convention, le président du BRGM, Jean-François Rocchi, a effectivement indiqué que cet engagement de son organisme dans une UMR est le premier acte d'une série à venir, dans des domaines qu'il considère comme stratégiques », confirme le 24 janvier Bruno Scaillet, directeur de l'Isto. Il considère que la nouvelle cotutelle du BRGM va fournir « une opportunité de resserrer les liens entre le laboratoire et le monde socio-économique ».
« Le budget primitif 2013 de l'IRD (Institut de recherche pour le développement) s'établit à 234,373 millions d'euros », soit une « hausse de 1 % par rapport à 2012, du fait du transfert de financements de l'ANR (Agence nationale de la recherche) au profit des organismes publics » (AEF n°203900). C'est ce qu'indique l'institut vendredi 14 décembre 2012, en précisant que le budget a été présenté en conseil d'administration le 7 décembre. Ce budget « privilégie trois axes prioritaires » : « consolider l'excellence scientifique en partenariat avec le Sud, conforter l'AIRD (Agence inter-organismes de recherche pour le développement), poursuivre la sécurisation des emplois et la simplification des fonctions d'appui ».
L'IRD (Institut de recherche pour le développement) a pour objectif que 20 % des membres de ses instances d'évaluation (commissions scientifiques, commissions de gestion de la recherche, conseil scientifique) soient des scientifiques du Sud d'ici à 2015, contre 3,2 % en 2010. C'est ce que mentionnent les critères d'évaluation du contrat d'objectifs 2011-2015 que l'IRD a signé le 11 avril 2012 avec l'État. Intitulé « L'IRD demain », le contrat d'objectif « est structuré autour de quatre orientations stratégiques », mentionne l'institut : « Développer une recherche partenariale avec les Suds, répondre aux enjeux globaux du sud grâce à une recherche finalisée, structurer et développer l'AIRD (Agence inter-établissements de recherche pour le développement) et adapter la gouvernance aux missions de l'institut. » Ce dernier précise que ses priorités géographiques « restent ciblées sur l'Afrique subsaharienne et le pourtour méditerranéen » et qu'il compte « maintenir son implication dans les Rom-Com (régions d'outre-mer et collectivités d'outre-mer) ».