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Le prix moyen au mètre carré n'enregistre désormais qu'une diminution de 0,6 % au premier trimestre 2013 en glissement trimestriel pour se fixer à 2 562 euros (France entière), après un recul de 1,9 % sur l'ensemble de l'année 2012 (AEF Habitat et Urbanisme n°198658), relève Century 21, dans sa dernière note de conjoncture publiée vendredi 5 avril 2013. De leur côté, les notaires, dans leur bilan du marché pour l'année 2012 publié hier, prévoient que cet ajustement à la baisse devrait se poursuivre sur l'année 2013 (AEF Habitat et Urbanisme n°192276). Côté volume, selon Century 21, l'activité au premier trimestre n'est en retrait que de 0,4 % par rapport à la même période l'année dernière. « La correction des prix entamée depuis le second semestre 2011, produit enfin ses premiers effets sur les volumes de ventes » qui « semble[nt] désormais s'être stabilisé[s] », explique le réseau immobilier.
« Le marché immobilier français a atteint un plus haut en 2011. Désormais, la hausse des prix est derrière nous », indique Laurent Vimont, président du réseau Century 21, dans son analyse du marché immobilier ancien, présentée lundi 7 janvier 2013. Pour l'année 2013, il prévoit deux hypothèses d'évolution des transactions. Si les taux d'intérêt demeurent stables, « 2013 devrait ne connaître qu'une faible baisse des prix, de l'ordre de 1 à 2 %, la pénurie d'offres devant encore s'accentuer avec la faible construction de logements neufs, condamnant les acquéreurs de ce secteur à se reporter sur l'immobilier ancien ». Dans ce cas, « l'année 2013 devrait être particulièrement rude en termes d'activité. Seul un changement de comportement des vendeurs dans le sens d'une baisse des prix entre 5 et 10 % permettrait la reprise de l'activité ».
« Les prix de l'immobilier sont toujours en retrait au troisième trimestre 2012, mais la baisse s'atténue sur un an », indique Century 21, le 30 septembre 3012, à l'occasion de la publication des chiffres du marché de l'immobilier ancien pour le troisième trimestre 2012 (1). Le réseau d'agences immobilières note que « l'écart de prix qui était de -2,6 % [au premier semestre 2012 en glissement annuel] n'est plus que de -1,7 % tous types de biens confondus en France [pour le troisième trimestre] ». Cette « résorption de la baisse » est en partie due au « retour sur le marché des primo accédants », qui « profitent du recul des prix observé au premier semestre ainsi que des taux d'intérêt extrêmement bas ». Pour autant, « le retour des primo accédants sur le marché n'est pas venu compenser la chute du nombre de transactions causée par l'inertie des secundo accédants ». Au total, la baisse de volume atteint 15,4 % sur le troisième trimestre 2012.
La Fnaim et Century 21 prévoient tous deux une baisse du volume des transactions pour la fin de l'année : de l'ordre de 10 à 15 % pour Century 21, et de 20 % pour la Fnaim. En revanche, les deux réseaux d'agences immobilières qui tenaient, lundi 2 juillet 2012, une conférence de presse, s'opposent sur les tendances des prix des prochains mois à venir. La Fnaim table sur une baisse des prix de l'immobilier ancien entre 0 % et 3,5 % au 4ème trimestre 2012 du fait d'une conjoncture incertaine sur les prochaines mesures gouvernementales, les conditions d'octroi du crédit bancaire, et la confiance des ménages. Century 21, au contraire, envisage des prix stabilisés, voire « en légère hausse », grâce à « des taux d'intérêt particulièrement bas et une demande toujours vigoureuse ».
« La baisse de 1,51 % du volume de transactions constatées sur les deux premiers mois de l'année par rapport aux deux premiers mois de 2011 est marginale comparé à ce que nous aurions pu vivre », déclare le directeur général du réseau Guy Hoquet, Frédéric Monssu, jeudi 15 mars 2012 en marge d'une conférence de presse sur les perspectives du premier trimestre 2012. « Nous ne contestons pas l'estimation d'un recul de 15 % sur l'année, mais pour l'instant nous ne la constatons pas. » Il évoque un « marché en demi teinte » certes marqué par « un léger recul de l'accession » lié à la fin du PTZ + et l'attentisme pré-électoral, mais aussi des taux d'intérêt stables (en dépit du durcissement des conditions de crédit) et « une motivation à investir dans la pierre ». Même en baisse, l'activité ne devrait pas « redescendre aux valeurs de 2008 », assure-t-il.
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