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Pour construire le PEDT prévu par la loi d'orientation et de programmation pour l'école, « il s'agit de structurer la démarche pour qu'elle soit partagée, non imposée » et « recréer un pacte de confiance entre tous les acteurs », conseille Yves Fournel, adjoint au maire PS de Lyon en charge de l'éducation et de l'enfance, président du RFVE, à l'occasion des « Assises régionales de l'éducation partagée » du Nord-Est, organisées mercredi 10 avril 2013 à Metz (Lorraine). Ces Assises visent à « aider les communes concrètement dans la mise en œuvre d'un PEDT et de la réforme des rythmes ». « La question ne se situe pas dans les 3/4 d'heure [d'activités périscolaires] mais dans l'élaboration d'un projet éducatif global, conçu en articulation entre le projet d'école, celui des associations, du monde culturel et sportif, et celui de la ville », précise Yves Fournel. Plusieurs facteurs de réussite ont été identifiés, à partir de retours d'expérience de PEL (projets éducatifs locaux).
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« Dans le cadre des projets éducatifs de territoire (PEDT), quel contenu proposer pour contribuer à la réussite éducative des enfants et comment mettre en œuvre la réforme des rythmes éducatifs dans les communes ou intercommunalités ? » C'est la question à laquelle le RFVE (Réseau français des villes éducatrices), les Francas, la Ligue de l'enseignement et l'Andev proposent de répondre en organisant huit « assises régionales de l'éducation partagée », du 8 avril au 7 mai 2013 (1).
« La prochaine rentrée se prépare maintenant, les villes attendent des réponses [sur le financement de la réforme des rythmes scolaires] pour la fin de la semaine prochaine [avant la mi-décembre] », déclare Yves Fournel, président du RFVE et vice-président de la commission éducation de l'Association des maires des grandes villes de France, le 6 décembre 2012 à AEF. Yves Fournel, également adjoint délégué à l'éducation et à la petite enfance de la ville de Lyon (Rhône), affirme que « si les négociations avec le gouvernement aboutissent, nous pourrons appliquer la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2013. Sinon, nous la mettrons en place en 2014 ».
« Alors que Vincent Peillon, [ministre de l'Éducation nationale] vient d'évoquer la réforme des rythmes scolaires comme une des priorités de ses nouvelles attributions, l'UMIH (Union des métiers et industries de l'hôtellerie (1) tient à rappeler son souhait d'être associée à la concertation, ainsi que les positions qu'elle défendra de nouveau », avance-t-elle mardi 22 mai 2012. Ce même jour, Vincent Peillon a déclaré sur RTL : « Ceux qui aiment les élèves, et veulent leur réussite, préfèrent [que les cours aient lieu] le mercredi matin et ce serait le plus juste » (AEF n°214569). Le 17 mai 2012, date de la passation des pouvoirs au MEN, le ministre a annoncé une réforme des rythmes scolaires pour « la rentrée 2013 » (AEF n°214829).
L'Élysée, le Parti socialiste, EELV et le Front de Gauche ont répondu à l'appel de Bobigny, un mois après l'avoir reçu, apprend AEF lors du Salon européen de l'éducation, jeudi 24 novembre 2011. « Grand projet national pour l'enfance et la jeunesse », l'appel de Bobigny établit « cinq objectifs prioritaires » (1) et « dix-huit propositions ». Il est accompagné de six textes relatifs à la scolarisation des 0-6 ans, à l'autonomie des établissements scolaires et des acteurs de l'éducation, aux « enjeux individuels et collectifs », à la « formation des professionnels de l'éducation », à la « participation active des enfants, des jeunes et de leurs parents aux projets éducatifs », ainsi qu'à l'avenir des projets éducatifs locaux et des projets éducatifs de territoire. Yves Fournel, président du réseau français des villes éducatrices, assure que « la publication de l'appel a contribué à ce que le débat s'engage. On veut dire fortement à tous les candidats qu'aujourd'hui, ils peuvent s'appuyer sur cette convergence de tous les acteurs signataires de l'appel ».