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L'UNL lance mercredi 17 avril 2013 « une campagne nationale sur le bac et l'orientation afin que les lycéens se saisissent de ces sujets ». « En signant la pétition, les lycéens pourront imposer ce débat de société et interpeller le ministère de l'Éducation nationale sur l'urgence d'une réforme globale », argumente l'organisation lycéenne. « Il paraît essentiel de sensibiliser la société aux problèmes auxquels sont confrontés les jeunes en se projetant dans l'avenir. En faisant remonter les inquiétudes des lycéens nous exposerons au travers de cette campagne notre volonté de faire changer le lycée en profondeur. » L'UNL « déplore que les thèmes du baccalauréat et de l'orientation n'aient pas été abordés » dans le cadre du projet de loi pour la refondation de l'école (AEF n°206104).
La FCPE et l'UNL « demandent au ministre de l'Éducation nationale d'agir dès maintenant pour commencer à réformer les rythmes scolaires dans le secondaire », indiquent les deux organisations dans un communiqué conjoint le 13 février 2013. Elles demandent la publication d'une circulaire « comme première étape vers un aménagement des temps éducatifs scolaires dans le secondaire » et « invitent leurs représentants dans les conseils d'administration des collèges et des lycées de France à entreprendre les actions dans ce sens pour sensibiliser toute la communauté éducative (motions, créations de commissions emplois du temps …) ». Elles jugent « indispensable de respecter un maximum de 6h de cours par jour en collège et en lycée, de garantir à tous une pause [méridienne] d'1h30 minimum […] et un total de 35 heures par semaine TTC (tous travaux compris) ».
La Fidl et le Snetaa-FO « exigent », dans un communiqué commun daté du 26 novembre 2012, « une valorisation de l'enseignement professionnel par une orientation choisie et non subie », « le maintien, partout, des diplômes nationaux qui garantissent une formation de qualité reconnue par les conventions collectives », « la lutte contre toutes les discriminations à l'accès au stage » et « un enseignement initial, public et laïque au sein de la seule École de la République qualifiante : les lycées professionnels ». Les deux organisations précisent s'être rencontrées « pour aborder les problématiques et enjeux des orientations de la prochaine loi sur l'Éducation, en particulier pour les lycéens professionnels ».