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« La prise en charge en hôpital de jour pour des patients traités au long cours, plus souple, permet d'éviter la rupture familiale et professionnelle que nécessite une hospitalisation conventionnelle. Elle crée en outre une convivialité entre les patients et les soignants », soutient le professeur Jean Pelletier, chef du service de neurologie de l'hôpital de la Timone, interrogé par l'AEF lors de l'inauguration de l'hôpital de jour en neuro-oncologie, sclérose en plaques et douleur chronique et du centre d'évaluation et du traitement de la douleur, le 26 avril 2013 à Marseille. L'établissement propose depuis novembre 2012 aux personnes suivies pour une tumeur au cerveau, une sclérose en plaques ou une douleur chronique réfractaire une prise en charge spécialisée. Une vingtaine de patients sont accueillis chaque jour par des équipes spécialisées dans des locaux réaménagés. L'objectif est de « faciliter une prise en charge globale, experte et personnalisée des malades, ainsi qu'un meilleur accès à l'innovation diagnostique et thérapeutique.
L'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille collabore avec les centres hospitaliers de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour prendre en charge en hyper-urgence les personnes victimes d'accident vasculaire cérébral. A l'hôpital de la Timone, à Marseille, le Samu-Centre 15, les urgences spécialisées neurologiques et cardiologiques, le service réanimation, le SUNV (service d'urgences neuro-vasculaires), la radiologie, la neuroradiologie et la médecine physique et de réadaptation ont présenté, le 15 novembre 2012, un dispositif unique en France où les patients bénéficient d'un accès prioritaire au scanner ou à l'IRM, puis d'une garde neuro-vasculaire spécialisée, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Le COM (contrat pluriannuel d'objectifs et de moyens) liant l'État à l'ARS Bretagne fixe l'objectif d'un taux de chirurgie ambulatoire de 42,4 % en 2013, alors que l'activité ambulatoire en Bretagne représentait 36,2 % de l'activité chirurgicale pour les séjours avec acte opératoire en 2010 (un taux inférieur de 1,6 point par rapport aux résultats nationaux). Pour atteindre cet objectif, qui constitue également l'une des priorités du Projet régional de santé breton (AEF n°228907), l'ARS Bretagne a lancé fin 2011 deux appels à projets. Un troisième le sera dans les prochaines semaines.