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« Désormais, les prises de participation dans les jeunes PME innovantes par les grands groupes ouvriront droit à un amortissement fiscal sur cinq ans. » C'est ce que déclare le président de la République, François Hollande, à l'occasion de son intervention aux assises de l'entrepreneuriat, lundi 29 avril 2013. Celles-ci ont été lancées par Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique. L'organisation de ces assises était prévue par le pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi, présenté le 6 novembre 2012 (AEF n°202938). « Les grandes entreprises doivent également accompagner nos PME », détaille François Hollande. « Certaines le font déjà et les soutiennent en prenant en charge une partie de leurs frais d'implantation ou en partageant le risque. Je souhaite encourager cette pratique, cohérente avec notre politique de filières. »
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« Le docteur ou l'ingénieur-docteur joue un rôle déterminant d'interface et de facilitateur de diffusion des connaissances entre les universités et les entreprises, et de passeur de la recherche fondamentale au développement applicatif », écrit le Medef dans ses « propositions » aux assises de l'entrepreneuriat, diffusées lors du point presse mensuel de sa présidente Laurence Parisot, mardi 19 février 2013. Les assises de l'entrepreneuriat ont reçu plus de 600 contributions entre leur lancement, le 14 janvier, et la clôture des contributions, le 15 février (AEF n°198082). Le Medef suggère donc de « faire du docteur l'interface privilégiée entre l'université et les entreprises ». Pour cela, il estime que « les entreprises doivent accentuer leurs échanges avec l'enseignement supérieur pour promouvoir et enrichir le diplôme de docteur ». Ces échanges doivent profiter aux docteurs « afin de développer leur valorisation et leur insertion professionnelle ».
Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique ouvrent les assises de l'entrepreneuriat, lundi 14 janvier 2013 (1), dont l'organisation était prévue par le pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi, présenté le 6 novembre 2012 (AEF n°202938). « Les assises de l'entrepreneuriat ont pour objectif de favoriser l'esprit d'entreprendre en France afin de doubler le nombre de création d'entreprises de croissance sur le territoire d'ici à cinq ans », précise le ministère du Redressement productif. « Neuf groupes de travail sont chargés de réfléchir, chacun sur une thématique propre, à des propositions de mesures qui permettront d'atteindre l'objectif qui leur est fixé. Ces propositions mèneront à la mise en place d'un programme d'action national, qui sera présenté lors de la clôture des assises de l'entrepreneuriat, en avril prochain », est-il précisé. Dix-huit ministères sont engagés dans cette démarche.
« Les acteurs de terrain et particulièrement les PME ont du mal à se repérer dans le nouveau paysage du SFRI (système français de recherche et d'innovation) et dans les méandres du pilotage des projets issus notamment des investissements d'avenir. » C'est l'une des idées exprimées par le Medef, dans sa contribution aux assises de l'enseignement supérieur et de la recherche, diffusée vendredi 9 novembre 2012, qui contient aussi des propositions sur la réussite des étudiants (AEF n°202072). « Rendre plus visible à l'international le SFRI grâce aux investissements d'avenir est louable, à la condition que la carte universitaire soit aussi plus lisible, sinon les structures vont continuer à se multiplier dans un paysage déjà confus (pôles de compétitivité, PRES, campus d'excellence, idex, IRT etc.) », détaille le syndicat. Le Medef recommande ainsi d' « améliorer la lisibilité d'ensemble du SFRI ».
« Mettre en place un 'pacte innovation' où toutes les entreprises affirmeront leur ambition de contribuer à faire travailler mieux ensemble les différents acteurs, de développer leur effort de R&D en France, leur collaboration avec l'université et l'enseignement supérieur et la mise en oeuvre de binômes grandes entreprises-PME. » Telle est l'une des propositions du Medef dans son ouvrage numérique de propositions pour la présidentielle « Besoin d'aire », présenté par sa présidente Laurence Parisot, mardi 14 février 2012 à Paris. « Comment rendre encore plus fertile cet écosystème d'innovation ? », s'interroge le Medef qui considère qu'il faut « accroître les liens entre recherche privée et recherche publique ; encourager la création de centres de R&D sur [le] territoire ; favoriser l'emploi scientifique ; donner autant d'importance à l'immatériel qu'au matériel ; se coordonner avec le projet Horizon 2020 de la Commission européenne ».
Hughes-Arnaud Mayer est nommé président de la commission « innovation », en charge « des relations avec l'enseignement supérieur et du développement des nouveaux business », annonce le Medef le 1er septembre 2010. Cette commission « encourage et soutient la recherche et les nouvelles technologies au sein des entreprises » et « assure la cohésion des actions des 147 Medef territoriaux ». Charles Beigbeder, qui dirigeait cette commission, devient président de la commission « entrepreneuriat », en charge « de la promotion de l'esprit d'entreprise et de la culture entrepreneuriale ».
La réforme de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés adoptée dans le cadre de la loi "Avenir professionnel" connaît sa première année de mise en œuvre en 2020 au travers de la déclaration déposée en 2021. Un projet de décret soumis aux partenaires sociaux apporte quelques ajustements à la déclaration, notamment sur le cas des entreprises qui relèvent à la fois du régime général et du régime agricole. Il acte également le report au 30 avril de la communication aux cotisants des effectifs, à titre exceptionnel, pour la seule année 2021.