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Trois syndicats du groupe de concession et d'exploitation d'autoroutes Sanef (CFDT, CFE-CGC, CFTC) ont signé un nouvel accord de GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences), le 28 mars 2013. L'accord n'a pas été signé par les syndicats CGT, FO et Fat-Unsa. Cet accord intervient alors que l'évolution technologique conduit à une évolution des métiers, notamment pour les péages et la viabilité. « Les postes évoluent vers une plus grande professionnalisation technique », indique Alain Bantz, DSC CFE-CGC. Les deux premiers chapitres de l'accord décrivent les emplois tels qu'ils sont amenés à évoluer pour se substituer aux emplois actuels. Selon la CFTC, le groupe Sanef anticiperait la disparition de 441 emplois dans les trois ans, un chiffre fondé sur « l'agrégation de l'ensemble des données dont nous disposons et qui n'a jamais été contesté par l'entreprise », précise Frédéric Minet, DSC CFTC. « Il s'agira principalement de non-remplacement de départs. »
Tous les syndicats représentatifs du groupe Thales (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT) ont signé, vendredi 26 avril 2013, un accord « visant à favoriser le développement professionnel et l'emploi par des démarches d'anticipation ». Le texte, conclu pour une durée de cinq ans, comporte un volet de GPEC et des mesures dites de « gestion active de l'emploi », conçues comme une alternative à un PSE. Un premier accord semblable avait été signé en novembre 2006. La négociation d'un nouvel accord avait débuté en 2012, mais une intersyndicale réunissant la CFDT, la CGT et la CFE-CGC s'était alors opposée au projet proposé à la signature par le précédent P-DG de Thales, Luc Vigneron. « Nous avons pris acte de l'impossibilité de négocier avec ce président et le dialogue social a été paralysé dans le groupe pendant six mois », raconte Didier Gladieu, coordinateur groupe pour la CFDT.
Le premier accord de GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) négocié chez Eurocopter en France a été signé par les trois syndicats représentatifs de l'entreprise (CFDT, CFE-CGC, FO), le 20 décembre 2012. L'accord, entré en vigueur depuis le 1er janvier 2013, est une déclinaison de l'accord de GPEC signé le 9 novembre 2007 par EADS, la maison mère d'Eurocopter. Le texte ne s'applique pas à l'ensemble des sociétés du groupe Eurocopter, mais à la seule société Eurocopter en France « du fait du champ de la négociation ». Toutefois, l'accord précise qu'il s'agit d'une stratégie globale de l'entreprise et que « de nombreuses démarches et dispositifs reliés à la GPEC sont conçus et déployés au niveau du groupe ».