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« J'utiliserai trois mots pour qualifier l'ambition du CGI : simplifier, accélérer et faire travailler les gens ensemble », déclare Louis Gallois, commissaire général à l'investissement. Il s'exprime lors d'une réunion du club « recherche et innovation » d'AEF, regroupant une dizaine de responsables R&D de grands groupes industriels et dirigeants de PME innovantes (1), mardi 11 juin 2013. « J'ajouterais le terme 'évaluer' car je souhaite que nous puissions mesurer l'impact de l'argent mobilisé en résultats concrets de notre action. Nous devons évaluer, c'est cela qui permettra de vérifier si nous avons réussi ou pas. Le bilan sera sans doute contrasté car nous devons assumer une part de risque, c'est essentiel », poursuit-il. Les participants au club R&I d'AEF ont également abordé les questions de la simplification du paysage de la recherche et de la complexité des règles de l'UE en matière d'aides d'État.
« Des difficultés restent à surmonter pour améliorer le transfert d'innovation vers l'entreprise », parmi lesquelles « une méfiance persistante entre les organismes de recherche et les industriels au sein des structures de valorisation qui s'explique pour partie par des différences de culture professionnelle et une gestion peu efficace des carrières des chercheurs publics mis à disposition ». C'est l'un des constats établis par le CGI (Commissariat général à l'investissement) dans son rapport intitulé « Programme d'investissements d'avenir, une valeur ajoutée pour les territoires », adressé au Premier ministre et publié le 24 mai 2013. « Si des effets structurants sont déjà clairement identifiables au niveau des acteurs, l'impact du PIA en matière de valorisation de l'innovation, mais aussi de gouvernance, apparaît encore limité », considère le CGI.
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault annonce sa décision « de redéployer 2,2 milliards d'euros, qui sont disponibles au programme des investissements d'avenir, vers les secteurs de demain », lundi 21 janvier 2013, à l'occasion d'un déplacement à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), « après avoir consulté Louis Gallois, le commissaire général à l'investissement ». Dans le détail, les services du Premier ministre précisent que « les principaux axes de cette réorientation concernent le développement et la diffusion des technologies dites 'génériques' (dont le numérique) pour 600 millions d'euros, le soutien à l'innovation de rupture et à la l'industrialisation des produits innovants pour 250 millions d'euros, l'accompagnement des PME des filières émergentes, notamment en capital-risque, pour près de 600 millions d'euros, et le lancement de nouveaux appels à projets en matière de transition énergétique pour 300 millions d'euros ».
Conditions d’éligibilité, montants et durées d’indemnisation. Modes de financement. Ou encore répartition entre les services de l’accompagnement des demandeurs d’emploi d’une part et du versement de leurs allocations de l’autre. Parues en juin et juillet 2022, trois études réalisées par l’Unédic permettent de prendre connaissance des modalités de fonctionnement de l’assurance chômage au Danemark, en Finlande et en Suède. Signe particulier : partout, une part au moins de la couverture est soumise au volontariat des salariés et indépendants, libres d’adhérer ou non à une caisse d’assurance.