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« Nous nous apercevons que l'administratif représente le coeur du métier du Cnaps. Les agents de recherches privées attendaient d'abord plus de contrôles » C'est ce que déclare Jean-Emmanuel Derny, président du Snarp, dans une interview à AEF Sécurité globale. Il s'exprimait en marge d'un débat organisé par l'Asis France, mardi 25 juin 2013 à Paris, sur « la place des enquêtes dans la gestion sécuritaire des entreprises », dont il était l'intervenant principal. Jean-Emmanuel Derny estime en outre que le principe d'exclusivité - une entreprise de sécurité privée ne peut pas exercer des activités d'agence de recherches privées - « est une protection des métiers du renseignement privé ». « Il ne faudrait pas, sur ce point, qu'il y ait une évolution », ajoute-t-il.
« Il y a un siège destiné au représentant des agents de recherches privées au sein du Cnaps, mais plusieurs organisations professionnelles. Nous allons donc vous demander un travail afin de désigner un représentant unique. Je ne pense pas que procéder par tirage au sort soit une bonne solution », déclare Jean-Louis Blanchou, délégué interministériel à la sécurité privée. Il faisait part de ses attentes envers les détectives privés lors d'une table ronde intitulée « Les détectives privés et le Cnaps » organisée par le Snarp (Syndicat national des agents de recherches privées) à destination de ses membres, jeudi 3 février 2011 à Nantes. Les activités de recherches privées sont concernées par le projet de Cnaps au même titre que celles de surveillance humaine et de transport de fonds.