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Michel Sapin, ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, s'est livré à une « clarification » sur les orientations du réseau Anact-Aract devant le conseil d'administration de l'Agence nationale de l'amélioration des conditions de travail, le 9 juillet 2013. Le contrat d'objectif et de performance 2014-2017 en préparation, « qui constitue un exercice décisif pour fixer des orientations stratégiques et des objectifs opérationnels et partager une feuille de route » entre son ministère et l'Anact , « devra intégrer les axes de progrès » dont il a parlé et sur lesquels « l'Anact est attendue ». Le contrat d'objectif et de performance devra « conforter l'Anact comme véritable tête de réseau des Aract. Elle devra piloter, organiser et déployer l'action de l'ensemble du réseau au service de sa performance globale ».
Les travaux s'un groupe de réflexion tripartite (1) sur l'évolution de l'Anact et du réseau des Aract viennent d'être remis au ministère du Travail. La réflexion a été lancée par Michel Sapin en octobre 2012, conformément à ce qui avait été décidé par le gouvernement lors de la conférence sociale de juillet, afin de « renforcer la gouvernance de la politique de santé au travail, tant au niveau national qu'au niveau régional » (AEF n°210642). Il ressort de ces travaux quatre scénarios possibles d'évolution : l'autonomisation totale des Aract par rapport à l'Anact ; une intégration plus forte du réseau des Aract ; un pilotage et une gouvernance renforcés avec un positionnement sur un spectre large autour de l'organisation du travail ; un pilotage et une gouvernance renforcés avec un positionnement recentré sur les conditions de travail. Le consensus s'est globalement construit autour de ce dernier scénario.
La Cour des comptes recommande « un repositionnement net » de l'Anact (Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail) et de son réseau d'associations régionales « sur la mission de service public de l'amélioration des conditions de travail et de la prévention, avec un ciblage marqué sur les secteurs et les catégories professionnels à risques et sur les petites entreprises ». Telle est une des préconisations exprimées par le premier président de la Haute juridiction financière Didier Migaud, dans un référé adressé aux ministères en charge du Travail et du Budget. Daté du 31 août 2011 et diffusé mercredi 11 janvier 2012, ce référé fait suite à un contrôle de la gestion et des comptes de l'Anact sur la période 1999-2009. Il est le premier à être rendu public par la Cour des comptes, comme la loi l'y autorise désormais (1). Selon Didier Migaud, en dépit de la « mission stratégique » dévolue à l'Anact, son positionnement demeure « incertain ». Il déplore une « configuration juridique complexe et problématique » qui entraîne des « insuffisances de gestion » ainsi que des « pratiques peu rigoureuses ».
À l’université de Bordeaux, la mise en place de la nouvelle équipe présidentielle de Dean Lewis a conduit les collèges DSPEG et Sciences et technologies à renouveler leurs directions. Jean-Christophe Saint-Pau, doyen de la faculté de droit et président de la conférence des doyens de droit et de science politique depuis 2019, a été élu le 7 juin 2022 à la tête du collège DSPEG. Il y succède à Samuel Maveyraud, devenu vice-président finances et moyens. Christophe Champion, directeur de l’unité de formation de physique, a été porté le 16 juin à la tête du collège bordelais S&T, en remplacement de Pascal Lecroart, désormais VP formation et vie universitaire. Les deux autres collèges d’UBx conservent leurs directions inchangées : Virginie Postal-Le Dorse (Sciences de l’homme) et Jean-Luc Pellegrin (Santé).