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BOURGOGNE. Sophie Morlaix est désignée par l'UB (université de Bourgogne) chargée de mission pour l'Espé (école supérieure du professorat et de l'éducation). Elle est pressentie pour devenir, à la création de l'école en septembre, administratrice provisoire.Sophie Morlaix, 40 ans, est maître de conférence en sciences de l'éducation à l'UB depuis 2006, responsable du master de sciences de l'éducation « analyse des systèmes éducatifs ». Habilitée à diriger des recherches, elle est membre...
Pour préserver « les disciplines ‘orchidées' » (à faibles effectifs), l'Espé de Franche-Comté travaillera en partenariat avec l'Espé de Bourgogne, déclare Eric Martin, recteur de l'académie de Besançon, au cours d'une conférence de presse organisée mercredi 3 juillet 2013. La collaboration se mettra en place à la rentrée en septembre, pour les étudiants en allemand et en italien, inscrits en master MEEF (métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation) pour enseigner dans le second degré. L'IUFM de Besançon a par ailleurs signé, en janvier 2013, une convention avec la Haute école pédagogique du canton de Vaud (1). Dès septembre, les étudiants inscrits à l'Espé pourront valider le master suisse correspondant, en plus de leur master MEEF PE (professeur des écoles).
L'Espé débutera son activité à la rentrée 2013 autour d'une offre « stable », avec trois mentions du master MEEF (PE, CPE, PLP, PLC), explique Annie Vinter, chef du projet de l'Espé de Bourgogne, par ailleurs vice-présidente déléguée à la coordination de la formation et de la recherche à l'université de Bourgogne, dans un entretien à AEF mercredi 24 avril 2013. La refonte des maquettes des masters enseignement MEEF est « un vaste chantier », reconnaît-elle. « Il peut y avoir des réticences, justifiées, car les collègues des UFR voient le volume réservé à la discipline réduit. Tout le travail consiste à regarder ce qui est essentiel pour l'entrée dans la profession et ce qui peut être transféré, à terme, dans une formation continue disciplinaire. »
Le projet d'accréditation de l'Espé de l'académie de Besançon est porté par l'université de Franche-Comté, qui propose de délivrer trois mentions de master MEEF (métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation) : une mention MEEF-PE (professeurs des écoles), une mention MEEF-CPE (conseiller principal d'éducation) et une mention MEEF-PLC-PLP (professeur de lycée et collège, professeur de lycée professionnel). L'Espé assurera le rôle de coordination des masters MEEF et inscrira au niveau pédagogique les étudiants visant les concours de PE, de professeur documentaliste et de CPE. Les étudiants visant les concours de PLC-PLP seront, quant à eux, inscrits à l'UFR (unité de formation et de recherche) impliquée dans leur parcours disciplinaire. Ainsi, « tout n'est pas intégré dans l'Espé », souligne Éric Martin, recteur de l'académie de Besançon, à l'initiative du groupe de pilotage académique, constitué pour moitié de représentants de l'Éducation nationale et pour moitié de représentants de l'UFC. Les quatre sites de formation de Besançon, Belfort, Vesoul et Lons-le-Saunier sont maintenus.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.