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L'Irstea (Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture, ex-Cemagref) a lancé fin juin une enquête sur la consommation d'eau des ménages en France. L'objectif de cette enquête « ouverte à tous » jusqu'au 31 décembre 2013 est de « comprendre les comportements des consommateurs afin d'anticiper les besoins futurs des grandes villes » en matière d'eau potable. Cette enquête « émane d'un constat : la consommation d'eau dans plusieurs grandes agglomérations françaises connaît une baisse depuis plusieurs années ». « Les collectivités locales doivent donc repenser leurs investissements dans les services d'eau potable et d'assainissement face à cette évolution inattendue », met en avant l'institut de recherche.
La France a pris du retard dans le développement de la méthanisation parce qu'elle a voulu en faire une filière « multifonctionnelle » et « vertueuse », ce qui la rend « plus complexe et plus lente » à faire émerger, analyse Fabrice Béline, directeur de recherche à l'Irstea (ex-Cemagref) lors d'un point presse sur les travaux de l'organisme de recherche consacrés à cette technologie, mercredi 29 juin 2013. À l'opposé, « l'Allemagne a développé un modèle avec une vision de production d'énergies renouvelables, ce qui conduit à des différences significatives. La France n'est pas leader sur le marché. Mais en allant plus loin que la seule méthanisation, en travaillant sur les produits fertilisants, elle peut trouver de vraies innovations technologiques et créer de vraies opportunités ».
Le 10e programme (2013-2018) de l'agence de l'eau Rhône-Méditerranée et Corse, voté le 14 septembre dernier par le comité de bassin, « lance la chasse au gaspillage » d'eau et « fait la part belle à la protection des captages » tout en « maintenant les efforts sur l'assainissement », explique Martin Guespereau, directeur général de l'établissement public, lors d'une rencontre avec la presse mercredi 24 octobre 2012 à Paris. Le périmètre de l'agence concerne quatorze millions d'habitants, 25 % du territoire et 20 % de l'activité agricole et industrielle nationale. D'un montant de 3,653 milliards d'euros (en hausse de 500 millions d'euros par rapport au 9e programme), le budget pluriannuel de l'agence permettra de réaliser 9,1 milliards d'euros de travaux et de mobiliser 14 000 emplois directs.
Le Journal officiel daté de mardi 14 février 2012 publie un « décret relatif à l'Irstea (Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture) », qui procède à la « modification de la dénomination, des missions et de la gouvernance de l'établissement ». Ce texte officialise notamment le changement de nom annoncé le 30 novembre 2011, à l'occasion d'un forum organisé pour les 30 ans de l'organisme. L'ancien nom de Cemagref (Centre national du machinisme agricole, du génie rural, des eaux et des forêts) « ne reflétait plus, après 30 ans d'existence (…), la nature de son activité », explique l'introduction du décret. Le texte « vise à mettre en cohérence le texte fondateur du Cemagref avec les évolutions et modifications survenues depuis sa rédaction initiale », précise l'organisme de recherche. Ainsi, « la description de ses missions est actualisée et rend plus visible leur dimension environnementale ».
« Économiser 20 % de l'eau d'ici 2020 pour préserver les usages » : c'est l'ambition du futur plan d'adaptation au changement climatique à l'échelle du bassin Rhône-Méditerranée, lancé le 9 décembre 2011, à Lyon, par Jean-François Carenco, préfet de la région Rhône-Alpes, et préfet coordonnateur du bassin Rhône-Méditerranée, Michel Dantin, président du comité de bassin Rhône-Méditerranée et Martin Guespereau, directeur de l'agence de l'eau Rhône-Méditerranée et Corse. Objectif : « Développer les solutions d'économies d'eau pour faire face aux pénuries d'eau à venir. »
À l’université de Bordeaux, la mise en place de la nouvelle équipe présidentielle de Dean Lewis a conduit les collèges DSPEG et Sciences et technologies à renouveler leurs directions. Jean-Christophe Saint-Pau, doyen de la faculté de droit et président de la conférence des doyens de droit et de science politique depuis 2019, a été élu le 7 juin 2022 à la tête du collège DSPEG. Il y succède à Samuel Maveyraud, devenu vice-président finances et moyens. Christophe Champion, directeur de l’unité de formation de physique, a été porté le 16 juin à la tête du collège bordelais S&T, en remplacement de Pascal Lecroart, désormais VP formation et vie universitaire. Les deux autres collèges d’UBx conservent leurs directions inchangées : Virginie Postal-Le Dorse (Sciences de l’homme) et Jean-Luc Pellegrin (Santé).