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Le général Gaëtan Poncelin de Raucourt a pris ses fonctions de commandant de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris le 1er août 2013, suite à sa nomination au Journal officiel par décret du 5 juin. Il remplace le général Gilles Glin (AEF Sécurité globale n°235776).
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Le projet d'intégration des appels d'urgence de la police et des sapeurs-pompiers de Paris, suivi par un groupe de travail à la Préfecture de police de Paris, est désormais en phase d'étude de faisabilité, pour une durée de six mois. C'est ce qu'indique à AEF Sécurité globale le commandant Stéphane Raclot, adjoint au chef de section du centre opérationnel de la BSPP (Brigade de sapeurs-pompiers de Paris). Il s'exprimait lors d'une visite du centre de traitement de l'alerte de la BSPP, organisée par l'industriel Cassidian, filiale d'EADS. Ce centre, inauguré en février 2012, gère environ 5 000 appels par jour (AEF Sécurité globale n°222130). L'ouverture de cette étude de faisabilité succède à deux années consacrées aux études d'opportunité.
« Lors d'une intervention de crise auprès d'une entreprise, nous prenons contact avec le responsable de la sécurité et nous ne le lâchons pas ! On ne peut pas travailler chacun de son côté. » C'est ce qu'indique le lieutenant-colonel Olivier Gaudard, chef du bureau de la planification opérationnelle de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, mardi 26 mars 2013. Il présentait les outils de gestion de crise de la BSPP lors d'une conférence organisée à Puteaux (Hauts-de-Seine) par la section francilienne de l'UIC (Union des industries chimiques). Selon lui, « s'il n'y a pas eu de collaboration entre l'entreprise et les sapeurs-pompiers avant la crise, cela ne peut pas marcher pendant ». Le militaire prône ainsi pour une meilleure connaissance mutuelle entre la BSPP et les grandes entreprises. Olivier Gaudard pointe plusieurs intérêts convergents entre les industriels et les sapeurs-pompiers en cas de crise, tels que « la réduction du risque à la source », « l'organisation de la réponse opérationnelle » ou encore « l'information préventive des populations ».
« Nous ne tolérons aucune forme de bizutage. J'ai confiance en vous, en votre motivation, en votre foi, pour une pratique bien comprise du métier de sapeur-pompier. Pratiques faites de savoir-faire professionnel mais aussi d'une grande rigueur morale. » C'est ce que déclare le commandant de la BSPP, le général Gilles Glin, lundi 14 mai 2012, « devant 300 sapeurs-pompiers représentants les différents groupements », précise le porte-parole de la brigade, Pascal Le Testu. Gilles Glin s'exprime pour la première fois sur la mise en examen de onze sapeurs-pompiers pour « viol ou violence ».