En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Roselyne Hubert, présidente de l’Ardir Auvergne-Rhône-Alpes depuis mars 2019 et directrice du CFA du groupe IGS à Lyon, est élue présidente de la Fnadir, lors du conseil d’administration du 5 décembre 2019. Diplômée d’un master RH et organisation, management des RH, à l’IAE de Lyon, Roselyne Hubert commence sa carrière et tant que manager d’équipe chez Apple en Irlande (2001-2003). Elle intègre ensuite le groupe IGS, où elle sera responsable des relations entreprises (2004-2010), puis directrice de l’École de management (2010-2014), incluse dans le pôle Alternance et apprentissage. Depuis 2013, elle est directrice du CFA d’IGS. Le nouveau bureau de la Fnadir "souhaite renforcer le soutien des directeurs de CFA", pour les fédérer dans un "collectif d’échanges", "assurer une veille pour anticiper les évolutions, faire le lien avec les institutions" et les parties prenantes.
L’avenant 6 à la convention nationale a été approuvé par un arrêté ministériel du 24 mars publié mardi au Journal officiel. L’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF), majoritaire, qui avait fait opposition au texte, a "laissé faire", après que la Cnam lui a signifié que cette opposition rencontrait un problème juridique, indique le syndicat. En contrepartie, doivent d’ouvrir le 4 avril prochain des négociations d’un avenant 7, qui n’était pas prévu initialement au calendrier, afin "de rediscuter de la rémunération des sages-femmes libérales, plus basses que celles d’autres professions médicales", poursuit l’ONSSF. L’avenant 6 introduit la possibilité pour les patientes de déclarer à l’Assurance maladie le nom de leur sage-femme référente, définit les missions de cette dernière et les valorise à hauteur de 45 euros. Il valorise également l’intervention des sages-femmes réalisant des accouchements en maisons de naissance ou en plateaux techniques dans les établissements de santé.