En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Christian Hirsoil, directeur départemental de la sécurité publique de la Seine-et-Marne, est nommé directeur central adjoint de la sécurité publique par arrêté publié au Journal officiel, mercredi 27 février 2019. Nommé inspecteur général, il succédera à Catherine Faure. Avec cette nomination, le mouvement de DDSP – initié par des départs en retraite et les nominations de Jean-Marie Salanova et Brigitte Jullien en administration centrale – se poursuit.
Jean-Marie Salanova, directeur départemental de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône, est nommé directeur central de la sécurité publique en conseil des ministres, mercredi 19 décembre 2018. Il succède à Pascal Lalle, nommé en 2012.
"La police s’est ouverte à la diversité, mais elle doit changer de culture", estime Laëtitia Philippon, jeudi 18 octobre 2018 à Paris. La directrice départementale de la sécurité publique de la Dordogne s’exprimait lors du colloque organisé pour les 25 ans de la DCSP. "Plus nous répondrons à cet impératif de diversité, plus nous serons en mesure d’accueillir un public divers", ajoute-t-elle. Selon Laëtitia Philippon, cette proximité avec le public peut mener à la résolution d’affaires.
"Le droit de la sécurité publique apparaît inadapté", estime Olivier Renaudie, professeur de droit public à l’université Paris-I (Panthéon-Sorbonne), lors du colloque organisé pour le 25e anniversaire de la DCSP, jeudi 18 octobre 2018. "Il est peut-être trop identique partout en France", note en particulier Olivier Renaudie, qui estime en outre que le département n’est "pas l’échelon le plus pertinent" pour conduire des politiques en la matière. Et de noter par ailleurs que le modèle français de sécurité est tourné "vers la protection de l’État", contrairement au modèle anglo-saxon.
L’avenant 6 à la convention nationale a été approuvé par un arrêté ministériel du 24 mars publié mardi au Journal officiel. L’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF), majoritaire, qui avait fait opposition au texte, a "laissé faire", après que la Cnam lui a signifié que cette opposition rencontrait un problème juridique, indique le syndicat. En contrepartie, doivent d’ouvrir le 4 avril prochain des négociations d’un avenant 7, qui n’était pas prévu initialement au calendrier, afin "de rediscuter de la rémunération des sages-femmes libérales, plus basses que celles d’autres professions médicales", poursuit l’ONSSF. L’avenant 6 introduit la possibilité pour les patientes de déclarer à l’Assurance maladie le nom de leur sage-femme référente, définit les missions de cette dernière et les valorise à hauteur de 45 euros. Il valorise également l’intervention des sages-femmes réalisant des accouchements en maisons de naissance ou en plateaux techniques dans les établissements de santé.