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"Retirer les doctorants du champ d’application de la mesure", "doter les universités de capacités d’exonération suffisantes" (15 % à terme) et "stabiliser durablement les frais d’inscription des étudiants français et communautaires" : telles sont les préconisations majeures concernant les frais d’inscription, émises par les cinq personnalités chargées de la concertation sur le plan "Bienvenue en France", dans leur rapport rendu à la ministre le 18 février 2019. D’autres recommandations concernent l’amélioration de l’accueil des étudiants étrangers et sont détaillées ici.
"La meilleure façon d’avancer, c’est de redire notre position à la hausse les droits pour les étudiants extracommunautaires, mais aussi de croiser des points de vue, de spécialistes, d’organisations syndicales, de personnalités politiques", déclare Jean-François Balaudé, président de l’université Paris-Nanterre, pour ouvrir la matinée d’échanges organisée le 25 janvier 2019 dans son établissement (lire ici). Avec Jack Lang, Christine Musselin, Hervé Christofol, Xavier North et Mamoudou Falassa Sidibé, ils ont notamment abordé la problématique de l’attractivité de la France et du signal prix.
La concertation mise en place par le ministère "ne répond pas à [nos] attentes, car elle refuse explicitement la suspension demandée [de la hausse des droits pour les extracommunautaires] et limite trop fortement, en imposant un cadre contraint, le périmètre des éléments ouverts à la discussion", déclare la CPU dans un communiqué, le 11 janvier 2019. Elle réagit à la lettre de mission des cinq personnalités nommées par F. Vidal pour mener une concertation sur la stratégie "Bienvenue en France", laquelle limite la discussion sur la hausse des droits au seul pourcentage d’exonération, aujourd’hui fixé à 10 %.
Retrouvez en bref quelques informations récentes intéressant la protection sociale :